17 février : du désespoir à la foi

Lecture du jour : Marc 5.24-34

"Ta foi t’a sauvée ; va en paix, et sois guérie de ton mal."

Qui n'a jamais été désespéré par une situation qui durait depuis des années ?

C'est le cas de cette pauvre femme du texte d'introduction.

Cela fait 12 longues années qu'elle traine avec elle sa maladie et rien ni personne ne peut la guérir. Les années passent et rien ne change.

Ce dicton « tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir » pour beaucoup n’est plus un slogan car l’espoir s'en va avec les années.

Cette femme avait tout essayé, elle a dépensé tout son argent pour essayer de se faire soigner par de nombreux médecins, mais rien n'y faisait, elle restait avec sa maladie qui d'ailleurs s'empirait.

Elle se trouvait seule face à sa souffrance.

Elle est isolée de la société, privée de tout contact avec autrui à cause de son écoulement permanent de sang.

Mais quand elle s'approche de Jésus, l'espoir renaît, elle passe du désespoir à la foi.

Elle avait foi qu'au contact de Jésus, sa maladie disparaîtrait.

Là où il n’y a plus d’espoir : Jésus agit. Il n’est jamais trop tard pour voir sa vie changer !

Elle va faire un geste de foi, interdit par la religion car elle n'a pas le droit de toucher quelqu'un à cause de sa maladie, mais elle a tellement foi que Jésus va la guérir qu'elle le fait.

Quand plus rien ne va, quand tu  essayé et que le désespoir est là, approche toi de Jésus à qui rien n'est impossible.

Jésus va demander qui l'a touché parce qu'il désirait que cette femme se manifeste. Il ne voulait pas simplement guérir son corps mais guérir aussi son coeur.

Jésus désire aussi guérir votre coeur du péché (du mal) qui est en chacun de nous. À la croix, il est mort pour nous pardonner, nous rendre libre du péché. Une seule chose à faire : lui demander pardon et décider de vivre notre vie pour lui.

Jésus est le seul qui peut faire passer du désespoir à la foi.